le Synode est toujours en marche !
Actions de grâces, grâces en actions
La liturgie des dimanches? Un appel à vivre!
L'Ascenion du Seigneur, un voyage dans l'espace?
Saint Charles de Foucauld et Bienheureuse Pauline Jaricot ...
Fêter 50 ans de ministère presbytéral, comme prêtre?
Dimanche des Rameaux : Grand portique de nos coeurs
Acte de consécration de la Russie et de l'Ukraine au Coeur Immaculé de Marie
Le Carême : un temps de conversion pour chacun de nous
Le Carême: Itinéraire d'incarnation de l'Espérance
Lumière de Lourdes pour nos frères et soeurs malades
L'Esprit Saint et la mission dans l'Eglise
Compte-rendu du Conseil Pastoral du 2 décembre 2021
Voici venu le temps de l'Avent
l'église synodale : chemin d'ouverture et d'accueil
Eglise Synodale : Chemin d'Intériorité
Une nouvelle année... Pourquoi?
Dans un monde qui change, retrouver le sens du politique
Sais-tu quel est le prix de la vie?
"Malheureux le monde à cause des scandales!"
Triduum Pascal: Souvenir ou Actualité
"Un temps pour changer..." du Pape François
une journée pour la Parole de Dieu
Saint Joseph, Père dans l'accueil
Morceaux choisis de l'Encyclique Fratelli Tutti du Pape François
Carlo ACUTIS, apôtre de l'Eucharistie
Se Former ? Pour tout chrétien c'est un devoir !
En avant à la suite du Christ!
Bonne fête à toutes les Mamans!
Alors que s'approche à pas (trop?) lents la fin du confinement liturgique
Message de Monseigneur Aumonier sur le temps pascal et la crise actuelle
"L'expérience d'église domestique" pendant le confinement
Méditation d'un chemin de croix - Examen de conscience
Vivre la semaine sainte à la maison
Qui dit qu'il n'y aura pas de Semaine Sainte ???
Dimanche, voici comment faire de votre maison une église !
Lettre du père Jean-Brice du 16 mars
"Chrétiens au cœur de la Cité"
Les Saints Patrons de l'Europe
"Cléricalisme, place des femmes, accompagnement des victimes..."
"Le Seigneur lui-même vous donner un signe..."
Accepter de vivre ensemble sans lisser les différences
Baptisés et envoyés - Le mois des missions
Saint Charles de Foucauld et Bienheureuse Pauline Jaricot…
Par le Père Jean-Brice Callery
… Priez pour nous, aidez-nous ! Voilà pour nous l’intérêt majeur – outre la joie de leur joie au Ciel ! - de la canonisation de Charles de Foucauld dimanche 15 mai à Rome, et de la béatification de Pauline Jaricot dimanche 22 mai à Lyon.
Pauline (1799-1862) a vécu à Lyon. Jeune fille, elle fait une chute et tombe malade. Sa mère aurait fait un vœu en offrant sa vie pour la guérison de sa fille ; la mort de sa mère fait réfléchir l’insouciante jeune fille qui, guérie, et à la suite d’un sermon sur la vanité, se confesse et choisit une vie consacrée sans pour autant devenir religieuse. Sa vie sera alors marquée par deux œuvres singulières : l’Œuvre de la Propagation de la foi (aujourd’hui Œuvres pontificales missionnaires), en soutien matériel à l’évangélisation ; et le Rosaire vivant, en soutien de prière à cette même évangélisation. Ces deux œuvres ont la particularité d’être organisées en réseaux démultipliés : chacun donnant par exemple un sou par cercles de dizaines, de centaines, de milliers de personnes ; ou encore chacun priant une dizaine du chapelet par jour, en s’organisant là aussi par groupes pour qu’un chapelet entier soit prié chaque jour. [Un tel groupe existe d’ailleurs dans nos paroisses de la Vallée de Chevreuse, n’hésitez pas à le rejoindre !] Sérieusement malade du cœur, la prière de Pauline auprès de sainte Philomène et sa guérison ont contribué à la canonisation de cette sainte. Contemporaine et amie du saint curé d’Ars, Pauline Jaricot est décédée à Lyon le 9 janvier 1862, dans la misère et l’indifférence générale, en union avec le Christ pour qui elle avait créé plus jeune un groupe informel appelé « Les réparatrices du cœur de Jésus méconnu et méprisé ». Son corps est inhumé dans l’église Saint-Nizier, et son cœur se trouve dans l’église Saint-Polycarpe, à Lyon. C’est la guérison miraculeuse d’un enfant en 2012, l’année des 150 ans du décès de Pauline, qui a contribué à sa béatification le 22 mai prochain à l’Eurexpo de Lyon, par le cardinal philippin Lui Tagle. Charles de Foucauld (1858-1916) est beaucoup plus connu. Orphelin à 6 ans, devenu officier, il connaîtra une vie assez dissolue jusqu’à sa conversion au Christ à 28 ans ; il avait auparavant été touché par le témoignage de la foi des Musulmans rencontrés lors de ses missions en Afrique du Nord : « Dieu existerait-il ? ». Devenu Religieux trappiste pendant 7 ans, il a passé 4 ans en Terre sainte, spécialement à Nazareth, pour se faire plus proche du Christ pauvre. C’est au Sahara, en ermite proche et ami de la population locale, qu’il vivra ses dernières années. « Espérons ! Car quelles que soient nos fautes, Jésus veut nous sauver. Plus nous sommes pécheurs, plus nous sommes prêts de la mort, plus nous sommes dans un état désespéré... plus pour ainsi dire Jésus veut nous sauver car il est venu sauver ce qui va périr ». |